Fatigué.e.s de l’hiver, tristes de ces journées de télétravail pluvieuses ou de cette grisaille ? On a trouvé une solution chez Moka et on voulait partager avec vous nos “good vibes” : la luminothérapie ! ☀️
Pourquoi a-t-on besoin de lumière ?
En hiver, les cas de dépression saisonnière font rage, et la cause de ce blues est en fait un simple manque de lumière.
Tristesse, troubles du sommeil, irritabilité… ce mal touche environ une personne sur dix, chiffre qui pourrait être amplifié cette année avec la pandémie. Il est alors essentiel de combler ce manque.
La lumière est reconnue pour ses bienfaits depuis de nombreuses années. Elle joue un rôle clé dans le bon fonctionnement de notre organisme, plus précisément sur les fonctions biologiques et la vision. La lumière a un rôle de régulateur de notre rythme biologique. Elle arrive dans notre organisme par les yeux qui vont ensuite transmettre le signal au cerveau, qui va commander la sécrétion d’hormones régulant le cycle jour/nuit. C’est notre horloge biologique interne qui gère ce cycle.
Ainsi lorsqu’on ne reçoit pas assez de lumière, notre horloge biologique est bouleversée. Résultats ? Stress, baisse de vitalité ou troubles du sommeil !
Comment ça marche ?
Considérée comme une médecine douce, la luminothérapie consiste à s’exposer chaque matin à une lampe de luminothérapie qui agit sur la sécrétion de mélatonine (hormone fondamentale qui régule les cycles d’une journée).
Cette hormone, dite “hormone du sommeil”, est censée être produite dans l’obscurité, donc la nuit. Mais avec les journées sombres de l’hiver, il y a un dysfonctionnement de ce mécanisme, l’horloge biologique est alors déréglée.
La lumière produite par la lampe de luminothérapie a pour objectif de re-synchroniser notre horloge biologique en empêchant la production de mélatonine dans la journée et ainsi favoriser l’éveil. C’est pourquoi, la luminothérapie a un effet antidépresseur et synchronise notre horloge interne.
Cette méthode est très utilisée dans les pays nordiques pour compenser le manque de lumière du jour en hiver.
Si en été, notre corps est exposé en moyenne à 50 000 lux (cela peut même aller jusqu’à 120 000 lux), en hiver, ce sont à peine 2 000 lux qui nous parviennent. Sacrée différence, non ?
Alors, êtes-vous prêt.e.s à l’adopter ?